MelGibson détaille la suite de La Passion du Christ; Mel Gibson détaille la suite de La Passion du Christ. le 01/09/2016 à 14:50 par François Léger
THE PASSION OF THE CHRIST Les écrits bibliques ont depuis les débuts du cinéma inspiré les producteurs et réalisateurs. Hormis ses DIX COMMANDEMENTS réalisés en fait à deux reprises, Cecil B. DeMille est lui-même l'instigateur d'une vie de Jésus dans le courant des années 20 avec THE KING OF KINGS. Et comme le médium cinématographique laisse une grande place à l'adaptation et aux interprétations, le personnage de Jésus embrasse les écrans à de nombreuses reprises sous la forme d'une figure très hollywoodienne LA PLUS GRANDE HISTOIRE JAMAIS CONTEE ou LE ROI DES ROIS, d'une image d'Epinal respectueuse JESUS DE NAZARETH de Franco Zeffirelli, de versions télévisées JESUS, MARY, MOTHER OF JESUS…, d'un militant révolutionnaire L'EVANGILE SELON ST MATTHIEU en passant par des versions bien plus barrées comme JESUS CHRIST VAMPIRE HUNTER. Des excroissances à l'histoire des spin-off ? sont même produites avec, entre autres, LA TUNIQUE ou bien encore BARABBAS. Et c'est encore sans compter sur les apparitions plus ou moins marquées à l'écran du personnage dans des métrages plus ou moins sérieux pour le plaisir, on citera l'excellent LA VIE DE BRIAN… Autant dire que LA PASSION DU CHRIST se devait d'adopter une approche nouvelle tout en évitant soigneusement un champ miné par l'intégrisme religieux dont Martin Scorsese a pu faire les frais il y a une quinzaine d'années avec sa DERNIERE TENTATION DU CHRIST. De toutes façons, dans l'esprit de Mel Gibson, très croyant, il faut respecter à la lettre les écritures et représenter l'histoire de façon très réaliste. Le choix est d'ailleurs fait de tourner le film dans les langues d'origine et mortes depuis, telles que l'araméen et le latin. Une idée intéressante mais qui place directement le projet sous un jour peu commercial, puisque la majorité du public américain, mais aussi des autres pays qui pratiquent le doublage, est plutôt réfractaire aux versions sous-titrées. Qu'importe, il est même annoncé pendant un temps que de toute façon, le film ne serait pas sous-titré, limitant à zéro la compréhension des dialogues ! Gros problème, LA PASSION DU CHRIST ne s'adresse finalement qu'à des spectateurs coutumiers de l'histoire du Christ. Ou pour être exact, la portée de l'histoire risque de leur échapper de la façon dont elle a été traitée. Car si le passage le plus emblématique du Nouveau Testament est bel et bien la crucifixion de Jésus, il est loin de résumer à lui seul la vie entière du personnage, en grande partie dévolue à apporter la "bonne parole". Cette bonne parole apparaît de manière fugace dans LA PASSION DU CHRIST par l'entremise de quelques flash-backs qui se résument souvent à une tirade ou une action. Mais encore une fois, extirpés de leur contexte, que peut bien en saisir le spectateur qui n'a pas eu une éducation catholique dans les règles ? C'est limite si l'on peut comprendre que Jésus sauve Marie-Madeleine de la lapidation et vous ne saurez même pas pourquoi… En cultivant cette confusion, les deux heures du métrage ne réussissent à expliciter clairement et graphiquement que la longue mise à mort du personnage. Si LA PASSION DU CHRIST ou Mel Gibson voulait faire passer un message, celui-ci s'en retrouve biaisé, dilué et oublié devant d'autres considérations… Et il est question ici de voir le film avec un sous-titrage pour y comprendre les dialogues ! Dans son souci de réalisme, Mel Gibson s'attèle donc à reproduire de la manière la plus crue et la plus violente le calvaire de Jésus. Le film n'a pas atteint trente minutes que déjà Jim Caviezel s'est fait refaire le portrait. Au bout d'une heure d'humiliations et de coups, on peut même assister à la fameuse flagellation, une très longue séquence qui dépasse l'entendement en matière d'horreur graphique pure. On a connu des films largement plus inoffensifs graphiquement que cette PASSION DU CHRIST, et qui ont pourtant écopé de restrictions bien plus lourdes seulement "R" aux Etats-Unis ? une simple interdiction aux moins de 12 ans en France ?. Nous ne sommes pas du genre à être choqués par ce type d'images, mais il faut peut-être aussi reconnaître qu'il existe deux poids et deux mesures, puisque des films qui apporteraient bien moins leur lot de cauchemars aux enfants sont parfois affligés d'interdictions plus écrasantes ! L'envie de retranscrire une certaine réalité est souvent louable mais dans le cas présent, il aurait été bien plus pertinent de ne pas nous infliger la seule véracité de la mort de Jésus et de nous faire profiter, aussi, du reste, autrement que sous la forme d'un zapping. Même la résurrection de Jésus désolé pour la révélation finale reste en suspend alors qu'il devrait ensuite retrouver sept à onze de ses apôtres en fonction des évangiles consultés pour justement leur dire de continuer à porter la bonne parole. La violence des images de LA PASSION DU CHRIST ne serait-elle pas finalement une manière de choquer son auditoire ? La fameuse flagellation n'apparaît d'ailleurs pas dans les quatre évangiles officiellement reconnus. Mais il faut croire que les images violentes fonctionnent certainement bien mieux en 2004 que les icônes pastels agrémentées de dorures. Car si l'on peut éventuellement croire à l'honnêteté de Mel Gibson dans sa démarche, assez maladroite pour le coup, il faudrait aussi ne pas oublier que LA PASSION DU CHRIST est une machine commerciale à l'image d'un STAR WARS. On omettra d'évoquer la façon dont le film a cassé la baraque au Box Office américain pour s'intéresser au marketing qui a suivi. Pieusement, vous pouvez depuis la sortie du film faire des achats aussi effarants qu'un porte-clefs en forme de clou achetez-en trois pour faire bonne mesure en passant par des pendentifs, anneaux, CD-Audio, tasses et autres objets que nous nous garderons de qualifier de babioles puisqu'ils sont présentés comme des "messages d'espoir". A voir cela, on peut se demander si ce ne sont pas directement les descendants des marchands du temple qui exploitent en ce moment la licence. Le plus surprenant étant encore les pré-commandes, au moment de la sortie du DVD aux Etats-Unis, de packs de 50 destinés aux églises "50-Unit Church Pack" pour, on l'imagine, être revendus à l'unité à leurs ouailles après le sermon ! On pourra aussi faire la fine bouche sur des bizarreries qui n'apparaissent pas dans les évangiles le corbeau ? les démons ?. Le film reste donc une vision de Mel Gibson et de son scénariste qui ne colle pas exactement à la lettre aux écrits d'origine tel que c'était annoncé. D'un autre côté, les quatre évangiles sont parfois en légère contradiction entre eux sans compter que leurs rédactions ne datent pas de l'époque où l'histoire s'est déroulée. Quoi qu'il en soit, LA PASSION DU CHRIST est avant tout un film sur lequel Mel Gibson a su s'entourer d'une troupe d'excellents techniciens. Les décors ou les costumes font illusions mais on restera déjà plus circonspect sur des effets de styles ralentis, accélération… qui tranchent avec le classicisme habituellement de rigueur pour ce type de récit. Le DVD de LA PASSION DU CHRIST arrive en France comme dans tous les autres pays dans une version très épurée. Le film est retranscrit dans son format cinéma avec un transfert 16/9 sans faille et assez remarquable. D'un autre côté, il faut préciser que le DVD ne contient que le film et rien d'autre. Deux pistes sonores accompagnent l'image avec des versions originales en Dolby Digital et DTS qui sont elles aussi de très haute tenue. La reproduction du film est donc optimale ! Des sous-titrages français et anglais sont présents mais pour ceux qui voudraient tenter l'expérience, il est possible de regarder le film sans aucune aide de ce type, tel qu'il aurait été prévu à l'origine. En ce qui concerne l'interactivité, on vous arrête tout de suite ! Il n'y a rien de rien… Comme d'habitude chez TF1, on vous liste le choix du son, les sous-titres et le chapitrage. Mais tout cela devrait en réalité faire partie intégrante de tout DVD qui se respecte. Pas de Making Of, pas de bande-annonce… Il faut croire que le film doit se suffire à lui-même. Pourtant, les Making Of existent, les bandes-annonces existent et un photographe de plateau a dû faire son boulot durant le tournag,e ce qui aurait pu amener une galerie de photos. Mel Gibson aurait pu apparaître pour "vendre" son film et s'expliquer sur ses choix, que ce soit en interview ou en commentaire audio. Partout dans le monde, LA PASSION DU CHRIST est donc sorti dans le plus complet dénuement. Etant donné le marketing déjà mis en place, nous ne serions pas surpris de voir sortir du tombeau une version plus flamboyante en termes de suppléments à l'avenir. Pour les plus impatients, un DVD était sorti aux Etats-Unis au moment de la sortie en salles avec justement Mel Gibson s'exprimant sur son film. Ayant déjà parlé longuement en nos pages de JESUS DE NAZARETH ou de L'EVANGILE SELON ST MATTHIEU, on ne pourra pas nous taxer de vouloir faire du mauvais esprit anti-religieux. Mais si l'emballage, la réalisation technique, de LA PASSION DU CHRIST en fait un film visuellement réussi, il faut bien reconnaître que Mel Gibson passe quelque peu à côté de son sujet en se concentrant sur ce qui est le plus impressionnant mais pas le plus important ! 4 news 635 critiques Film & Vidéo 2 critiques Livres On aime Les costumes et les décors Une belle retranscription audio/vidéo On n'aime pas Un long chemin de croix au message étouffé par les coups de fouet Mon compte Se connecter S'inscrire Notes des lecteurs Votez pour ce film Vous n'êtes pas connecté ! L'édition vidéo Editeur Support DVD Double couche Audio Hebrew/Latin DTS Hebrew/Latin Dolby Digital Sous-titrage Anglais Français Menus Autres éditions vidéo
Anillustration of two cells of a film strip. Video. An illustration of an audio speaker. Audio An illustration of a 3.5" floppy disk. La Passion De Jésus Christ ( FILM CHRÉ TIEN)
Auréolé du label fait réel » brandi tel un étendard, Tu ne tueras point est l’histoire d’une conviction toute entière contenue dans le commandement du titre, une parole d’essence divine incarnée en la personne de Desmond Doss, jeune américain pris dans la tourmente de la Seconde Guerre Mondiale, et qui s’enrôle dans l’armée en refusant de porter une arme. Mel Gibson réinjecte en premier lieu cette anomalie dans le sillon tracé par Stanley Kubrick et son Full Metal Jacket 1987, en se focalisant sur l’initiation des recrues avant le départ pour le champ de bataille. Le film repose alors sur un paradoxe a priori intenable comment une conception pacifiste ou, pour être plus précis, non-violente, peut-elle résister à l’épreuve d’un engagement guerrier ? Cette tension entre idée et réalité constitue l’enjeu de la première moitié du récit, où notre jeune héros se retrouve pris en porte-à -faux vis-à -vis des valeurs de sa patrie, alors même qu’il obéit à un précepte chrétien – la religion étant, on le sait, un des fondements identitaires de la nation américaine. Devenu bouc émissaire de ses compagnons d’unité comme de ses supérieurs, Doss ira jusqu’à manquer son mariage et mettre en jeu sa liberté pour conserver son intégrité. Sur ce canevas limpide se brode un premier acte archétypal mais savoureux, quoique parfois grossier Gibson ne résiste pas à l’explication psychologique fumeuse, à base de traumatisme originel et de révélation morale. Entre trahison et intégrité En contant le parcours de ce jeune homme fluet tout entier porté par une idée, résistant aux railleries et dangers pour se voir in fine sacralisé en symbole de la nation, le réalisateur de Braveheart 1995 affiche ce besoin de réactiver, à l’heure des super-héros et autres franchises de cinéma d’action qui semblent devoir ne plus finir, une figure héroïque qui ne soit ni surhumaine, ni liée au mythe d’une gloire vieillissante. Bien que légitime, cette démarche s’exerce dans les faits aux dépens de toute autre considération. Aussi la guerre, lieu privilégié de la seconde partie du film, se voit réduite à un simple contexte, un milieu hostile interchangeable, prétexte au suivi d’une trajectoire homérique confortablement tracée. Seulement, le récit tout entier navigue autour d’un impensé problématique. Passée l’intransigeance de sa conduite morale, Doss reste une personnalité contradictoire s’il refuse de tuer, il ne remet pas tant en cause la violence qu’il s’en absout en ne la pratiquant pas, ce qui ne le rend pas moins complice. De fait, n’est-il pas permis d’identifier une certaine hypocrisie dans cette volonté apparemment altruiste de recoller les morceaux d’un monde qui se déchire » dixit, en substance, le héros sans contester la violence en tant que telle ? L’ouverture d’esprit du protagoniste il soigne un japonais, et en évacue par ouïe dire deux autres du champ de bataille apparaît aussitôt comme un leurre, tant Gibson s’échine à gommer soigneusement ces petites aspérités, les reléguant de manière significative à la plus totale inconséquence. Et son héros de muer inexorablement, au cours de la seconde moitié du film, du statut de puissance incorruptible, à celui de simple fonction inféodée à la logique de l’action. De manière générale, Tu ne tueras point, en retard de plus d’un demi-siècle par la vision du monde qu’il exhale, relève d’une irresponsabilité crasse. Un classique comme Aventures en Birmanie 1945 avait de quoi exaspérer par le contenu propagandiste de certaines séquences, mais le travail de Raoul Walsh brillait par l’intense épure de son trait l’ennemi était filmé comme une figure abstraite, sans visage ni contour, l’action étant de son côté principalement réduite à des effets de suggestion. Sous la caméra de Gibson, le camp adverse s’assimile à une somme de pantins désarticulés et de visages grimaçants, d’affligeants rictus d’horreur gouvernés par une même pulsion de mort le hara-kiri du haut gradé japonais, mis en parallèle avec le héros blessé luttant pour sa vie et ne s’embarrassant d’aucun code moral la séquence du drapeau blanc, dont l’ineptie confine au grotesque. Avec le récent American Sniper 2015 – que mon confrère, dans son article, aborde sous un autre angle –, Clint Eastwood épousait froidement le point de vue d’un soldat devenu une machine à tuer, et, par là même, dressait un portrait de l’Amérique et de ses contradictions inhérentes – une image diffractée, plurielle, in fine préservée dans un rêve d’unité qui ne laissait pas dupe. Le film était fondamentalement ambigu, dérangeant, passionnant. Tu ne tueras point agit comme son exact pendant, tant il s’astreint à construire une représentation lisse et univoque, au premier degré pleinement assumée. Parce qu’il témoigne d’une croyance absolue en l’image – c’est probablement ici que se départageront adeptes et détracteurs – et en l’idéologie qu’elle véhicule, le cinéaste ne se trouve jamais dans une position d’observation ou de questionnement, écrasant tout ce qu’il filme sous le sceau d’une vision autoritaire et peu encline à s’embarrasser de quelque éthique. L’oeuvre a la clarté de l’évidence pour elle, ce qui en rend d’autant peu aisée l’analyse la laideur des intentions et des idées est si transparente, qu’on jurerait, en vain, qu’il y a quelque chose derrière. Regarde les hommes tomber Rarement un film n’aura été le lieu d’une inadéquation aussi totale entre le propos revendiqué et la forme choisie, Gibson se conformant approximativement à la lettre pour mieux trahir l’esprit. Tu ne tueras point se pare jusque dans son titre d’alibis trop voyants pour être honnêtes rappelons que le propos est censé reposer sur un rapport traumatique à la violence, et la conviction qui en découle, tout en s’adonnant aux pires travers esthétiques, comme si le sujet pouvait excuser la manière. En donnant tout à voir – mises à mort spectaculaires et autres blessures riches en hémoglobine – sans travail de durée ni d’incarnation, le long métrage normalise une violence devenue simple prétexte à une avalanche gore. Sa logique est celle de l’accumulation d’effets de tous les sévices montrés, rien ne perdure au-delà de l’immédiateté du choc. Chaque image efface la précédente, en autant d’instantanés de corps souffrants, suppliciés, déformés, finalement réduits à des objets de sidération purement superficiels. Mais Gibson ne s’arrête pas là en une dynamique proprement incohérente, sa mise en scène glorifie, à grands renforts de ralentis et de musique emphatique, un homme qui disait – l’intéressé lui-même s’en porte garant, images d’archives à l’appui – se contenter d’un sourire comme seul témoignage de reconnaissance. Le fond de la démarche est plus que douteux, en tant qu’il consiste à se repaître d’une humilité pour la renverser en pur argument de spectacle. De manière générale, cette instrumentalisation du héros n’est pas innocente, dans la mesure où le cœur du film, son entreprise véritable, réside en un processus de légitimation Desmond Doss incarne cette bonne conscience d’une Amérique qui a toujours eu besoin de valeurs pour justifier ses actions, et de la foi pour supporter sa violence. Involontairement, Tu ne tueras point donne à penser cet accouplement monstrueux des extrêmes, où le bien n’est finalement rien d’autre que la caution d’un mal qu’il entend résorber et, ce faisant, contribue à légitimer. Par l’indigence de ses partis pris, le cinéaste finit peut-être par mettre le doigt sur la véritable nature d’un personnage qui, par-delà tout le décorum altruiste, reste un individualiste forcené. D’une telle conduite, jamais Gibson n’explore la part d’ombre, les limites, ou la dynamique vitaliste, trop préoccupé par l’adhésion facile du spectateur, et en cela à mille lieues d’un destin semblablement mythifié comme celui du Rebelle King Vidor, 1949, qui puisait dans ses ambiguïtés et son refus total des compromis une ardeur étourdissante et, ce faisant, une insolente puissance de fascination. Rien de tel ici, et pourtant, sous le baume des apparences, l’enjeu consiste moins à sauver des vies réduites à l’état de simples fonctions, qu’à préserver son âme en témoigne l’ultime plan du film, où Doss se voit littéralement consacré en surhomme. Cette image christique d’un corps souriant sur son brancard, suspendu au-dessus du vide, en surplomb de la misère et du chaos des hommes, est particulièrement transparente quant à la démarche réelle qui sous-tend Tu ne tueras point des brimades encaissées en silence à la haie d’honneur finale, la trajectoire de Doss n’aura consisté qu’à tout écraser sous le poids de sa condition héroïque. De ce point de vue, on saura gré au cinéaste de se libérer enfin des prétextes en osant aller au bout de son idée le film ne s’achève pas sur la réunion familiale attendue, mais sur son héros niant le monde, les yeux rivés vers le ciel, avec sa propre légende pour unique horizon.
Lapassion du Christ Ce film décrit les douze dernières heures de la vie de Jésus de Nazareth, le jour de sa crucifixion à Jérusalem. Post Views: 67 154 751 86 Tags film
Regarder maintenant NoteRéalisateur Casting RésuméMel Gibson, acteur et réalisateur américain, a accédé à la célébrité à la fin des années 1980, un statut privilégié dont il a bénéficié pendant près de deux décennies jusqu'à sa disgrâce due à ses opinions controversées et ses scandales. Visage d'ange, âme tourmentée qui est vraiment Mel Gibson ?Où regarder Mel Gibson - A la folie, passionnément… en streaming complet et légal ?En ce moment, vous pouvez regarder "Mel Gibson, à la folie, passionnément" sur Arte en streaming gratuit. Ca pourrait aussi vous intéresser Prochains films populaires Prochains films de Documentaire
RegarderLa Passion du Christ en streaming complet Note 7.2 (231k) Genres Durée Âge Réalisateur La Passion du Christ (2004) Regarder maintenant Filtres Meilleur prix Gratuit SD
THE ULTIMATE GIFT en VODCe film n’est plus disponibleAprès la mort d'un magnat du pétrole, Jason, son petit-fils, oisif et égoïste, découvre qu'il peut toucher un faramineux héritage. A la condition de remplir douze missions, précisées par son grand-père dans son testament, en moins d'un an. Elles vont être l'occasion d'un voyage intérieur pour Jason, notamment quand il rencontre Emily, une jeune femme atteinte de leucémie...Ce film n’est plus disponible1 min avantPeu connu en Europe, le cinéma chrétien est un genre qui commence à trouver sa place, notamment aux USA, où des sociétés indépendantes, produisent loin des réseaux hollywoodiens, des films censés porter la bonne parole divine auprès du public. Cette tendance macroscopique s’est amplifiée suite au succès mondial de La passion du Christ. Beaucoup moins radical que le péplum sanglant de Mel Gibson, The ultimate gift ne se lance pas moins dans un prêche en racontant la tâche du petit fils d’un millardaire qui ne peut toucher un énorme héritage qu’à la condition d’accomplir douze missions en moins d’un an. Chacune étant centrée sur une idée de don de soi, que ce soit dans le cadre du travail, de la famille ou de l’amitié. Le cadeau ultime du titre est lui lié à l’amour dans sa forme la plus pure. On l’aura compris, The ultimate gift suit plus qu’un chemin de croix, une croisade vers la compassion humaniste, quelles que soient les épreuves que l’on rencontre. Lancé aux USA en tant que symbole de la journée nationale de la philanthropie 2006, The ultimate gift surprit sa production en devenant, à défaut de connaître un grand succès en salles, un film cité en exemple par des églises de confessions les plus différentes, certaines paroisses continuant régulièrement à le diffuser à leurs ouailles. Dans le même genre vous pouvez trouver THE LAST SONG ou encore TO SAVE A LIFE .
FilmDrame réalisé en 2004 par Mel Gibson, avec Jim Caviezel (Jesus), Maia Morgenstern (Mary) et Christo Jivkov (John). La Passion du Christ 25 février 2004 1K membres By his wounds, we were healed. Les douze dernières heures de la vie du Christ. Rendu au Mont des Oliviers, Jésus prie après avoir partagé un dernier repas avec ses apôtres.
Réalisépar Mel Gibson États-Unis - 2h06 - Drame Titre original : The Passion of The Christ Sortie le 31 mars 2004 Synopsis Les douze dernières heures de la vie du Christ. Rendu au
Lefilm la Passion du Christ, de Mel Gibson
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